Disparitions de sous-marins

Le 4 mars 1970, l'Eurydice avec ses cinquante sept membres d'équipage disparaissait par 750 m de fond au large du Cap Camarat.

Le 27 janvier 1968, le sous-marin MINERVE, après avoir débarqué l'officier entraînement de l'ESMED en rade des VIGNETTES, fait route vers le secteur T65 qui lui a été attribué, pour un CASEX AÉRO avec un PATrouilleur MARitime (PATMAR) de NÎMES-GARON : un Bréguet Atlantic.

Le 4 septembre 1952 la Sibylle appareille et procède à des essais de plongée maximum (300 pieds - 90 m) qui s’effectuent sans incident.

Les sous-marins allemand U-2326 de type XXIII et U-2518 de type XXI (futur Roland Morillot) sont remis à la France au terme d'un accord passé entre la Royal Navy et la Marine Nationale.

 Le 8 juillet 1944 alors qu'il naviguait en transit surface entre les États-Unis et l'Écosse au large de Terre-Neuve, la Perle est coulée par méprise par un avion néerlandais embarqué sur un porte-avions marchand (Merchant Aircraft Carrier ou MAC) britannique le prenant pour un U-Boot allemand). 

Construit aux chantiers de la Loire à Saint Nazaire, lancé le 26 juin 1934, mis en service le 7 septembre 1936. LE CONQUÉRANT (n° 13 ) est affecté à TOULON à la 3ème escadrille, au sein de la 1ère division avec LE HÉROS (n° 11), LE GLORIEUX (n° 12) et LE TONNANT (n° 14).

Le 12 février 1942 à 15h, le SURCOUF appareille pour Tahiti via le canal de Panama. Il fait d'abord toute vers Colón via le passage des Caïcos et le passage du Vent. C'est la dernière fois que l'on verra le SURCOUF

Le 18 décembre 1943 le sous-marin PROTÉE commandé par le lieutenant de vaisseau MILLÉ appareille d'ALGER avec 74 hommes à bord, pour une patrouille au sud est de MARSEILLE. 

Le sous-marin NARVAL de la classe REQUIN commandé par le capitaine de corvette François Drogou rallie Malte le 25 juin 1940 après avoir appareillé du port de Sousse en Tunisie. Il est le premier sous-marin à rejoindre les Forces navales françaises libres (FNFL).

En 1939, le MORSE n° 92 de la classe REQUIN fait partie de la 5ème Escadrille et de la 9ème DSM avec le CAÏMAN n° 91 et le SOUFLEUR n° 93 basée à Bizerte. En juin 1940 cinq sous-marins sont en surveillance le long des côtes tunisiennes dont le MORSE au nord de Djerba, en cas de débarquement italien.

Le 19 avril 1940, la DORIS, en compagnie de l’ORPHÉE, appareille pour une première mission de surveillance devant Helgoland, une île au sud-est de la mer du nord, abritant une base sous-marine allemande.